

L'Art de la Courbe
Son petit musée...
Si mes talents au collège en art plastiques n'étaitent guère mirobolants, j'ai toujours adoré la peinture. L'Art de la Courbe n'est pas que des mots, c'est également des images ...
De très nombreuses images sont ainsi évoquées au détour des pages, parfois juste ébauchées comme dans ce passage "Il aimait particulièrement les oeuvres picturales les plus énigmatiques, comme les triptyques de Jérôme Bosch, les pastels de Goya ou bien L’Île des morts de Böcklin.
Mais il s’intéressait également au manga et à la bande dessinée, de Katsuhiro Otomo à François Schuiten ou de Kentaro Miura à Philippe Druillet."
Notre musée se veut restreint, et cher lecteur, vous avez tout loisir de visiter sur Internet l'intégralité de toutes ces références, notre musée se contentant d'en illustrer seulement quelques-unes.
La Danse de Mucha (Couverture)
Evidemment, le premier contact que vous vous êtes évidemment fait avec l'esthétique de l'Art de la Courbe est sa couverture.
Cette peinture m'a semblé illustrer à merveille ce roman, dans toutes ses dimensions, sensuelles, dynamiques, poétiques ... Mais je vous laisse juge ...
Pour ouvrir l'article sur Mucha dans Wikipedia, cliquez sur l'image
Le Baiser de Klimt (Ch.1)
Là, il suffit de lire l'avis de Jérôme sur l'Art Nouveau pour comprendre le mien (oui, étonnamment, je partage avec Jérôme un certain nombre d'avis ...).
Et quel meilleur représentant de sa version viennoise, le Jugendstil, que Gustav Klimt ?
Pour ouvrir l'article de Wikipedia sur Gustav Klimt, cliquez sur l'image
Liseuse de Gerhard Richter (Ch. 36)
J'ai découvert Gerhard Richter, il y a des années, j'étais encore étudiant, dans une exposition à Vienne, si j'ai bonne mémoire. J'ai tout de suite été passionné par la finesse de ses analyses, son incroyable talent de peintre, notamment dans sa faculté à travailler la lumière, presque comme une matière à part entière. C'est bien après que, compte tenu de son succès planétaire, je me dis que je devais finalement avoir du goût.
Mais, au vu du prix de ses toiles, que j'avais aussi des goûts de luxe.
Pour ouvrir le lien officiel de l'artiste, cliquez sur l'image.
François Schuiten (Ch. 51)
J'ai touiours adoré François Schuiten, la pureté de son graphisme, sa capacité à créer des mondes inventés. Avec son comparse Benoit Peeters, ils ont créé cette ode aux espaces imaginaires (et au steam-punk) qu'est le monde des Cités Obscures. Il est également capable de donner corps à ses visions en intervenant, dans les espaces urbains, comme dans des stations de métro à Bruxelles (station Porte de Hal) ou bien à Paris (station Arts et Métiers, ligne 11). Peut-être finalement est-il un Modeleur ? (Réflexion pour ceux qui ont lu l'Art de la Courbe ! :))
Pour ouvrir la page sur François Schuiten sur Casterman, son éditeur, cliquez sur l'image.